96962 Brésil: Le Retour Au Pays May 3, 2004 Une stratégie de développement dont l’idée de base est d’une -- Ressources -- simplicité enfantine : demander à des milliers de villageois du « Nordeste » ce dont ils ont besoin pour améliorer leurs vies. Leurs Texte intégral (PDF) English | Portuguese  réponses ont permit à l’électricité, aux services d’adduction d’eau et à Clip audio (en anglais) divers équipements agricoles de faire progressivement leur apparition dans cette région désolée au cours des 10 dernières années. Projet   The World Bank in Brazil   Disponible également en: English | Español « L’eau, c’est la vie. » --Arivaldo Carneiro Mota Northeast Brazil is known throughout Latin America for deep and unyielding poverty in a setting characterized by harsh climate and absent infrastructure. A single question has begun to transform the arid region: “What do you need?” The answers are driving the current World Bank regional development strategy. For the first time, visible results provide hope for the future. « C’est une des choses les plus importantes qui soit arrivée à ma famille. » --Marinalva Oliveira Lima Une association de paysans de Sambaiba a demandé l’aide du programme pour acquérir un moulin à manioc, de façon à produire plus de farine à usage commercial.  Marinalva Oliveira Lima, comme beaucoup d’autres de son village, utilise aujourd’hui les profits qu’elle a pu réaliser pour démarrer sa propre micro entreprise.  Avec l’argent qu’elle a gagné en vendant 35 sacs de farine, elle a pu investir l’équivalent de 205 dollars EU dans une crêpière qu’elle emporte avec elle sur les marchés hebdomadaires, les foires et autres événements qui attirent les foules.  « C’est une des choses les plus importantes qui soit arrivée à ma famille, » dit-elle. « Quand verrons-nous notre projet d’adduction d’eau » --Jose Silva Pastor When electricity reached the 200-family village of Gangorra in 1999, Jose Lorsque l’électricité a finalement atteint le village de 200 familles de Gangorra en 1999, Jose Silva Pastor, 40 ans et agriculteur de son état, a diversifié ses activités.  Armé d’une perceuse, d’une ponceuse électrique, et d’une trousse de réparation de chambres à air, il a pu doubler son revenu en s’établissant comme réparateur de véhicules, même de maisons.  Il a calculé qu’il touche aujourd’hui l’équivalent du salaire minimum qui est d’environ 82 dollars EU.  Lui et d’autres résidents attendent aujourd’hui avec impatience leur nouveau système d’adduction d’eau. “« Nous sommes beaucoup mieux qu’avant. » --Maria da Sena Araujo Comme des millions de personnes avant elle, Maria da Sena Araujo avait quitté sa maison rurale pour une vie meilleure en ville.  Lorsqu’elle a hérité des terres de son père, Araujo est revenue dans la maison familiale. Son exemple illustre une migration en sens inverse qui va en s’accélérant.  Sa ferme de trois hectares lui donne suffisamment de revenus pour alimenter sa famille de quatre personnes.  Son mari et elle disent qu’il n’est plus vrai aujourd’hui qu’il est plus facile de gagner de l’argent en ville. Dernière mise à jour : mai 2004 Related News